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Le droit civil – Les choses
William Dross
Publié le 27 mars 2013 – Mis à jour le 17 avril 2013
Cet ouvrage est à la fois un traité et un manuel. Le manuel figure en gros caractères, sur une colonne. On y trouve l’essentiel des problématiques que soulève le droit des biens ainsi que les réponses du droit positif.
Le traité s’y mêle, mais en petits caractères et sur deux colonnes. C’est là la place de la jurisprudence, des controverses doctrinales – dont la matière est particulièrement riche – du détail des questions et des questions de détail, des analyses techniques et des prises de positions, des incursions historiques, philosophiques ou politiques qui éclairent souvent de manière décisive le débat, bref : la substantifique moelle, toute la richesse théorique et pratique de la matière.
Nous n’avons pas souhaité renvoyer ces développements à la fin de chaque chapitre mais au contraire les faire figurer immédiatement après l’exposé de l’essentiel. Libre au lecteur, s’il est intéressé par la question, de les lire ou, s’il est davantage pressé, d’aller immédiatement à la suite en tournant quelques pages. L’intitulé de chaque paragraphe lui permettra quoiqu’il en soit de trouver aisément le point qui l’intéresse.
Il y est question des choses. Le terme « bien », plus habituel, à la fois trop large et trop étroit, rendrait mal compte de l’objet étudié. Trop large parce que, ramenée à la valeur, la notion de bien s’est aujourd’hui exagérément enflée. Trop étroit aussi, car les choses communes ou hors commerce nous intéressent, alors qu’elles ne sont pas considérées comme des biens.
Ces choses sont d’abord corporelles, mobilières ou immobilières, puisque la matière s’est construite à leur contemplation. Mais elles sont aussi ces choses incorporelles (œuvres et autres inventions) dont l’appréhension par ce vieux droit est un défi qu’il relève avec une vitalité qui témoigne de la solidité de ses concepts clés.
L’homme met les choses à son service. Traiter les choses, c’est non seulement les envisager en elles-mêmes mais encore étudier les manières dont l’individu les accapare.
Aux rapports de la personne aux choses (1ère partie) succède l’étude de ces choses qui sont en rapport avec la personne (2e partie).
William Dross est agrégé des Facultés de droit et professeur à l’Université Jean Moulin – Lyon 3.
Editeur : L.G.D.J. Parution : août 2012 – ISBN : 978-2-275-03893-3 – 982 pages
104 €
Le traité s’y mêle, mais en petits caractères et sur deux colonnes. C’est là la place de la jurisprudence, des controverses doctrinales – dont la matière est particulièrement riche – du détail des questions et des questions de détail, des analyses techniques et des prises de positions, des incursions historiques, philosophiques ou politiques qui éclairent souvent de manière décisive le débat, bref : la substantifique moelle, toute la richesse théorique et pratique de la matière.
Nous n’avons pas souhaité renvoyer ces développements à la fin de chaque chapitre mais au contraire les faire figurer immédiatement après l’exposé de l’essentiel. Libre au lecteur, s’il est intéressé par la question, de les lire ou, s’il est davantage pressé, d’aller immédiatement à la suite en tournant quelques pages. L’intitulé de chaque paragraphe lui permettra quoiqu’il en soit de trouver aisément le point qui l’intéresse.
Il y est question des choses. Le terme « bien », plus habituel, à la fois trop large et trop étroit, rendrait mal compte de l’objet étudié. Trop large parce que, ramenée à la valeur, la notion de bien s’est aujourd’hui exagérément enflée. Trop étroit aussi, car les choses communes ou hors commerce nous intéressent, alors qu’elles ne sont pas considérées comme des biens.
Ces choses sont d’abord corporelles, mobilières ou immobilières, puisque la matière s’est construite à leur contemplation. Mais elles sont aussi ces choses incorporelles (œuvres et autres inventions) dont l’appréhension par ce vieux droit est un défi qu’il relève avec une vitalité qui témoigne de la solidité de ses concepts clés.
L’homme met les choses à son service. Traiter les choses, c’est non seulement les envisager en elles-mêmes mais encore étudier les manières dont l’individu les accapare.
Aux rapports de la personne aux choses (1ère partie) succède l’étude de ces choses qui sont en rapport avec la personne (2e partie).
William Dross est agrégé des Facultés de droit et professeur à l’Université Jean Moulin – Lyon 3.
Editeur : L.G.D.J. Parution : août 2012 – ISBN : 978-2-275-03893-3 – 982 pages
104 €
Mise à jour : 17 avril 2013